Le meurtre terroriste du savant nucléaire iranien le 27 novembre que le Mossad a bêtement revendiqué s’est soldé par un resserrement de l’étau balistique de la Résistance tout autour de l’entité sioniste avec en toile de fond des missiles intelligents potentiellement prêts à viser Tel-Aviv et Haïfa, non pas seulement depuis le sud du Liban ou encore depuis Gaza qui a organisé fin décembre sa première manœuvre à balle réelle, mais encore depuis le Golan où désormais les unités de DCA de la Résistance, composé de batteries de missiles antimissile mais encore des complexes de guerre électronique attendent au tournant les F-16 et les missiles israéliens, le dernier ratage de ces derniers ayant remonté au 1er mars.
Qu’en sera-t-il de la riposte à l’attaque visiblement au missile de croisière Israël ayant visé le porte-conteneur iranien le 11 mars à la hauteur de Haifa, entre les ports syriens de Baniyas et de Tartous ? D’aucuns diraient qu’un nouveau coup à Hélios Ray, cette base logistique et d’espionnage flottante que le Mossad avait maquillé en cargo-parking avant d’envoyer vers le détroit d’Hormuz où juste avant de passer, il a été ciblé par on sait toujours pas quel genre d’armes, n’est pas à écarter. Soit. Mais vu le dévoilement surprise que le commandant en chef de la marine du CGRI vient de faire ce 15 mars, il se pourrait qu’en Méditerranée orientale ou en mer Rouge, terrains nouveau de face-à-face US-Israël/Résistance, les choses se passent nettement différemment.
Ce lundi, à peine 20 jours après une série de 10 exercices étalés entre fin décembre mi-janvier des forces navales iraniennes qui de par leur complexité oint fini par pousser le CentCom à abandonner ses "poulains golfiens" à leur sort et à faire implanter ses quartiers généraux sur la côte ouest saoudien, le commandant en chef du CGRI, le général Salami a dévoilé une « cité balistique » mais attention une « cité propre à la force navale du CGRI ». Cela veut dire à peu près que tout ce qui s’y trouve est, à n’en pas douter destiné à l’entité sioniste qui trop gonflé par le parrain US se croit capable de perturber le transit énergétique de la Résistance, de s’en prendre à son « corridor maritime anti sanction » en mer Rouge ou en Méditerranée, alors que ce même corridor s’étend désormais aux Carabes et que même la Ive flotte US n’a pas osé le couper.
Mais à quoi ressemble cette cité qui a l’air bien différent d’autres cités sous terrains balistiques du CGRI ? A en juge l’apparence trop bétonné des couloirs qui s’entrelacent, c’est un réseau de tunnel sous-marin, point important quand on prétend avoir normalisé avec les « Golfiens » pour pouvoir créé avec eux une « coalition militaire maritime » contre l’Iran. Mais il y a d’autres révélations propres à faire le froid dans le dos d’une entité à qui il faut une raclée historique et aux effets irréversibles.
Selon la presse iranienne, la cité balistique de la force navale du CGRI dont le commandant en chef, l’amiral Tanghsiri, a confirmé il y a quelque temps de cela que l’Iran compte avoir une base navale en océan Indien, la cité compte des « complexes et des équipements balistiques dotés de capacités opérationnelles genre « tir de précision en immersion », « des zones de DCA passive », « tir de mines à différentes portées », « tir à 360 degrés », « tir en mouvement », « cyber défense » entre autre… Certains des complexes balistiques dévoilés changent de cible une fois le tir effectué. Quant aux cyber-capacités, les dispositif ont à la fois les capacités radar, de navigation, de surpression, de simulation et tout ceci, la marine du CGRI l’a déjà et compte activer en représailles à une entité qui, ayant perdu la guerre au sol et dans le ciel, le déplace en mer.
Mais le régime sioniste est-il à même de s'engager pleinement dans un face-à-face naval avec l'Iran? En décembre, soit vers la fin de l'ère Trump, Israël a tenté un bombage de torse, en prétendant avoir envoyé un "destroyer dans le golfe Persique appuyer l'USS Georgia, sous-marin nucléaire US qui voulait pilonner les côtes iraniennes. Plus tard, on appris que le bâtiment n'avait même pas quitter Eliat par crainte d'avoir à faire face aux mines marines d'Ansarallah. Le vendredi 12, Ansarallah a dévoilé effectivement une belle collection de "mine" peut-être pas aussi performantes que celles que le CGRI vient de dévoiler dans sa cité mais largement suffisant pour faire comprendre à Israël de ne pas jouer avec le feu en mer Rouge. D'ors et déjà, les milieux sécuritaires sionistes commencent dès ce matin à refuser l'équation Navire "Sahr-e Kord" VS Hélios Ray, conscients du danger que cette dichotomie contient en soi pour l'entité.
Walla, le site sioniste dit même que L’armée et les services de sécurité israéliens auraient conseillé au Premier ministre d’éviter de répondre à "toute riposte navale iranienne à venir" et qu'au nombre de ces responsables aurait figuré même le bluffeur et chef d’état-major de l’armée israélienne Aviv Kochavi qui a conclu, au cours des discussions, qu’il fallait éviter un "clash frontal" avec l’Iran ou d'entrer dans un cercle de "riposte-contre riposte". Selon des sources sécuritaires, le chef d'état-major soutient une approche qui vise à "calmer les tensions" qui risquent, d’ailleurs, "de s'aggraver". Walla n'explique pas comment ce même Kochavi est parti précipité, après la médiatisation de l'attaque contre le navire "Shar-e Kord" demander de l'aide à l'OTAN en France, en Allemagne et en Grande Bretagne.
« contre des navires appartenant à des Israéliens ». Bref, on a trop peur en Israël de se trouver nez à nez avec la "Résistance navale" dont les armes viennent droit des "cités sous marine balistiques du CGRI". Un Hélios Ray voire mille d'autres ne valent pas la chandelle. Tandis pis pur un Abou Dhabi qui dépense des sommes folles pour ériger des bases navales "israéliennes" à Mion ou à Soccotra (Yémen) ou encore une Arabie qui croient que Dôme de fer pourrait faire mieux pour protéger Ras Tanoura que Patriot.... En attendant, "une reproduction de la cité balistique sous-marine" du CGRI en Syrie, peut-être à Tartous ou à Baniyas n'est pas à écarter. Après tout la Syrie devrait avoit une marine capable de défendre ses intérêts et cette marine a besoin des missiles antinavires tout comme ces autres missiles tactiques sol-air ou sol-sol qui ont trouvé le chemin de la Syrie et qui gîtent dans des stocks d'armes en attendant le jour J...